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Gevaarlijkste wave spots in Frankrijk volgens Surfsessions.

Kwam zojuist bijgaand artikel tegen. Een opsomming van de gevaarlijkste wave spots van Frankrijk. Biarritz stond daar tot mijn verbazing ook bij.

Voor de Frankrijkgangers onder ons. Toch goed om even te checken:

HIER

http://www.surfsession.com/2015/04/13/surf-les-vagues-les-plus-dang...

Check de link naar Surfsession.com met oa de filmpjes of kijk hier naar een kopie van het artikel.

Voici malgré tout notre sélection – forcément non exhaustive et toutes catégories confondues – des vagues de Métropole qui nécessitent d’en avoir un minimum pour s’y jeter :

– Vanthrax (Pays Basque)
Mis sur le devant de la scène au début des années 2000, le slab de Vanthrax, situé quelque part le long de la corniche entre Hendaye et Saint-Jean-de-Luz, n’est accessible qu’en jet-ski ou bateau. Une première difficulté qui opère une sélection naturelle : seuls les mieux équipés et les plus motivés osent s’y rendre pour affronter la vague et ses conséquences. Cette gauche qui lève d’un coup sur une dalle à fleur d’eau est le terrain d’aventure de quelques locaux prêts à se jeter dans l’intense barrel plein de remous. Hardcore.
Indice de dangerosité : 4,5/5


– Avalanche (Guéthary)
Pas un spot pour les enfants. C’est loin, souvent froid et toujours plus gros qu’on ne le croit. La vague d’Avalanche, àGuéthary, requiert avant de s’y frotter une vraie expérience du surf de gros. On trouve justement de quoi faire ses armes de l’autre côté du chenal, à Parlementia. Comme toute bonne vague de gros, la gauche d’Avalanche peut vous offrir le ride de votre vie (barrel compris) comme la pire bouffe de votre existence de surfeur. Passer du temps sous l’eau, encaisser les séries, ne pas réussir à sortir de la zone d’impact, se perdre au milieu d’un line-up sans repère : voilà ce qui vous attend, entre autres surprises, là-bas au fond…
Indice de dangerosité : 4,5/5


– La Côte des Basques (Biarritz)
Un spot pour longboardeurs au milieu de vagues velus ? Eh oui, ce n’est pas seulement à l’épaisseur d’une lèvre que l’on juge la dangerosité d’un spot. Si le lieu de naissance du surf en Europe se retrouve dans ce classement, ça pourrait être pour sa sortie de l’eau tricky sur la marée haute. Mais le plus gros risque vient surtout de sa surpopulation estivale, véritable danger pour tous les pratiquants. Multiplication des écoles de surf venues des quatre coins du continent, arrivée massive de vacanciers surfant des planches de location et les déjà nombreux surfeurs locaux composent une foule dense où les collisions sont parfois inévitables…
Indice de dangerosité : 3/5


– Le Furoncle (Anglet)
On pourrait ne rien dire de plus que son nom pour saisir le problème. Le Furoncle est une gauche qui casse lors de houles massives à l’embouchure de l’Adour, à Anglet. Parfois le take-off se fait en face de la digue, histoire de tendre un peu plus les choses en cas de chute. En plus de la vague, creuse et épaisse, l’environnement n’est pas des plus accueillants : les bateaux de marchandises croisent près de là pour entrer ou sortir du port de Bayonne et l’Adour charrie tout et n’importe quoi, du tronc d’arbre au frigo.
Indice de dangerosité : 4,5/5

Le Furoncle - ©AngletSurfPhoto.com


– La Gravière (Hossegor)
Le meilleur beachbreak de France (quand ça veut bien) voire du Monde, si l’on est landais. Un shorebreak ultra-puissant et creux qui pète sur un sable bien rugueux. Nombreux sont ceux à y avoir laissé quelques éraflures quand ils ne sont pas sortis avec les cervicales en vrac ou après avoir frôlé la noyade (récits ici). Parfois en stand-by pendant plusieurs années la faute aux mouvements du sable, La Gravière reste la vague de référence quand les étrangers évoque le surf en France. Les pros ne jurent que par elle et le traditionnel Quik Pro France ne rêve chaque année que de camper quinze jours durant devant son banc de sable parfait. Mais même les meilleurs s’y sont fait peur, plaquer au sol, retourner sans fin, récurer tous les orifices…
Indice de dangerosité : 4/5

Un take-off raté peut vite se finir la tête dans le sable à La Gravière... - © Aquashot


La Pointe du Ferret et les baïnes (Gironde) :
Pas réellement de spots dangereux en Gironde, mais plutôt des dangers caractéristiques du coin comme les baïnes. Les spots les plus proches des passes du Bassin d’Arcachon fonctionnent rarement, uniquement pas grosse houles et coefficient important. La Pointe du Ferret est un spot de repli capricieux pour lequel il faut se préparer à ramer ! En fonction de la marée, le bassin se remplit ou se vide, ce qui crée alors une vague avec un courant difficile à tenir, le tout entre les blockhaus ! En gros, c’est mise a l’eau, tu chopes une vague, tu rentres et tu fais le tour par la plage ! C’est surtout un spot parfait pour le skim quand ça marche. De façon générale, les surfeurs girondins sont habitués aux courants. Une spécificité qu’il faut apprendre à analyser afin que la session ne se termine pas en un combat de rame !
Indice de dangerosité : 3/5

Spot de la Pointe, Gironde - © Clément Philippon


– Le Verdon  (Gironde)
Situé en face du phare de Courdouan, la gauche du Verdon est constamment balayée par un fort courant dû aux mouvements dans  l’estuaire de la Garonne et à la présence du banc de « la mauvaisaise », situé à équidistance de la Côte Sauvage et de la Plage du Verdon. Ce haut-fond sablonneux a vu de nombreux plaisanciers et pêcheurs périr noyés… Par gros temps, on comprend que personne ne s’aventure là-bas. Même la Côte sauvage (voir plus bas) ou Saint-Nicolas (au Verdon) ne sont pas praticables par houle conséquente !
Indice de dangerosité : 3,5/5

Le Verdon, dans le 33 - © Xavier Renaudin


– Côte Sauvage (Charente-Maritime)
Une étendue de plage d’une quinzaine de kilomètre située dans le sud de la Charente-Maritime, sur la commune de La Tremblade/Ronce les Bains. Sa particularité est qu’elle se trouve entre l’embouchure de la Gironde et la passe de Maumusson (embouchure de la Seudre, rivière se déversant entre le continent et l’ile d’Oléron). C’est une zone où les courants peuvent être très violents, faisant de la Côte Sauvage un endroit très dangereux, notamment pour les novices ! Il y existe aussi de nombreuses baïnes (surtout l’été) et beaucoup de baigneurs s’y sont noyés car le courant les déportent vite au large ! Changeante en fonction des houles qui déplacent bancs de sables et baïnes, la Côte Sauvage porte bien son nom !
Indice de dangerosité : 3,5/5

La Côte Sauvage de Royan, 17 - © Xavier Renaudin


– Chassiron (Charente-Maritime)
Un des spot légendaires d’Oléron. Il est réputé pour ses longues droites et ses longues gauches qui déroulent sur un reef entre les écluses à poissons. Le premier danger vient du récif lui-même, tapissé de coquillages coupant en tout genre (moules, huîtres…) et de quelques oursins bien cachés. Le spot se trouve à l’embouchure du pertuis d’Antioche, ce qui engendre de fort courants, quelle que soit la marée. Pour couronner le tout, les vagues déferlent assez loin du bord (+500m). Une anecdote résume bien le danger des lieux : au début des années 90, lors d’une session assez costaude, un surfer local confirmé et son pote australien ont dérivé dans le pertuis d’Antioche… Dans l’impossibilité de revenir au pic et de sortir de l’eau, ils se sont accrochés à une balise de filet de pêche. Après quelques heures d’attente, un chalutier du port de la Côtinière les a repêchés pour les ramener à bon port (de la Côtinière), à une quinzaine de kilomètre du spot… Surfeur débutants et peu confirmés s’abstenir !
Indice de dangerosité : 4/5

Chassiron - © John Duquoc


– La Sauzaie (Vendée)
Le spot le plus célèbre de Vendée est tapi de rochers, à surveiller surtout à marée descendante. Une chute sur un rocher a déjà nécessité l’intervention des pompiers et le surfeur accidenté a frôlé la chaise roulante… En plus de cela, le monde au pic multiplie les risques de collision.
Indice de dangerosité : 3,5/5

La Sauzaie - © Julien Gazeau


– Chipo (Brétignolles, Vendée)
Un slab réservé aux bodyboardeurs où très peu de surfeurs se sont aventurés jusqu’à présent. La vague devientvraiment gnarly par gros swell de sud-ouest et le premier danger reste évidemment de toucher le fond. La droite, qui se finit littéralement à sec, est la plus dangereuse.
Indice de dangerosité : 4,5/5


– Bud Bud (Vendée)
C’est connu, le spot n’a pas grand-chose à envier aux Landes quand il est «on ». La puissance en a déjà surpris beaucoup et un paquet de planches y sont restées. A marée basse, le fond n’est jamais très loin et ne pardonne pas les mauvaises chutes. Les bons jours, le spot est tout simplement blindé, avec un niveau de surf pour le moins disparate. Vigilance de rigueur au take-off mais aussi en remontant.
Indice de dangerosité : 3/5

Quand les chevaux sont lâchés à Bud... - ©

Quand les chevaux sont lâchés à Bud... - © Julien Gazeau


– Coin à Fred (Vendée)
Situé au sud des Sables d’Olonne, le spot est un des plus chauds de Vendée, peu importe la marée. La vague fait face à une crique et à un bon mur de rochers, il faudra donc à la fois surveiller les patates au take-off et le niveau de la mer pour pouvoir sortir à temps. Pour surfeurs experts/kamikazes uniquement.
Indice de dangerosité : 4/5

Un petit coin pas très cosy... - © Max Annonier


– Pointe-Saint-Gildas (Loire-Atlantique)
Situé aux confins de la Loire-Atlantique, voilà un spot où on laisse souvent un peu de peau, de néoprène, des dents ou des bouts de planche… Il existe plusieurs spots le long de la Pointe-Saint-Gildas et certains sont (un peu) plus accessible que d’autres. Les jours où ça fonctionne, attendez-vous à trouver du monde et du niveau à l’eau. Les spots ne marchent en plus que pendant quelques heures et les zones de take-off sont très réduites. Les vagues y sont creuses, rapides, puissantes et à fleur d’eau (on a souvent pied sur la zone de take-off). Autre danger, la sortie de l’eau, très délicate si les vagues sont consistantes et tapent sur la falaise. Il se peut alors que vous soyez obligé de sortir par une crique.

L'un des pic de la Pointe-Saint-Gildas - © Ronan Benoit


– Kaolin (Lorient)

Un spot qui marche rarement à son meilleur mais, quand les conditions sont là, les sensations sont garanties ! Le danger commence dès la mise à l’eau… Il faut d’abord passer par la plage où le shorebreak peut être très violent. Bon timing obligatoire… Une fois passée cette première étape, il ne reste “plus qu’à” se placer au pic, souvent parmi une dizaine de bodyboarders, et à attendre la bonne vague prête à s’enrouler sur la dalle. Le take-off est très raide et rapide avec peu d’eau (environ 1 m). Interdiction de se rater, on a déjà vu des surfeurs ressortir ensanglantés… Mais si tout se passe bien, il ne reste plus qu’à apprécier la largeur du tube et essayer d’en sortir !
Indice de dangerosité : 4/5

Ewen Le Goff, Kaolins - ©Ronan Gladu


– Anaëlle (Brest)
L’aventure commence avant même d’arriver sur le spot : il faut au préalable ramer 800 m, traverser l’île puis se remettre à l’eau dans les blocs. Le spot est très prisée par les bodyboardeurs, pas facile donc de se faire une place au pic et d’y choisir sa vague… Sur ce genre de vague, il est primordial de commencer à ramer tôt et être bien focus sur son take-off. La dalle est relativement petite et un amas de rochers trône au milieu de celle-ci… Le take-off se fait quasi dans le vide, la vague se concentre au dernier moment et double de largeur… Un tube béant s’offre alors à vous pour une courte durée !
Indice de dangerosité : 4,5/5

Annaelle - ©Ronan Gladu


– Spot X (quelque part en Méditerranée)
Située à l’Ouest de Marseille, loin de toute urbanisation, ce spot sauvage demeure une pépite bien gardée qui ne se révèle qu’avec parcimonie, à peine quelques sessions pour une saison. Sans passer pour le bon Marseillais de base, cette droite revêt parfois des allures de slab australien. Les rares surfers pros venus se frotter à la bête n’en diront pas le contraire. Avec un courant qui vous tire irrémédiablement vers le peak, un take-off dans le vide sur chaque vague, un vent off-shore qui vous scotche sous la lèvre et des pointes rocheuses acérées au fond de l’eau, l’ambiance peut être très sombre au line-up. Nombreux sont ceux à avoir fait une donation corporelle ou matérielle à la belle… La vague est tellement exigeante qu’au final, peu d’entre nous disposent des qualités nécessaires pour se mettre à l’ombre.
Niveau de dangerosité : 4/5

Somewhere en Med. Oui, oui - © Laurent Gaden


Merci aux correspondants et locaux pour toutes ces infos : Ewen Le Goff (Bretagne), Volo Pertsowsky (Oléron), Xavier Renaudin (Verdon, Côte Sau), Clément Philippon (Ferret), Pastu et Tristan Guilbaud (Vendée), Ronan Benoit (Loire-Atlantique), Eric Bondon (Med) et aux photographes.

Votre home spot mérite d’être dans notre dossier ? Faites-le savoir dans les commentaires ou envoyez-nous les infos (texte et photos) à web[a]surfsession.com !

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Alles wat leuk is blijkt gevaarlijk. Voor mij is het gewoon een leuke lijst met mooie golven spots.

Als je maar weet waar je induikt.

De mooie plek waar ik in zomer sup is in de winter met golven boven een bepaalde hoogte een super gevaarlijke plek doordat de heftige stroming je standaard op de rotsen zet en zelfs zeer ervaren surfers mijden die plek dan.

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